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Dans un monde professionnel où les risques psychosociaux (RPS) et la qualité de vie au travail (QVCT) sont au cœur des préoccupations, comprendre et prévenir les RPS devient essentiel. Découvrez à travers cet article comment identifier les facteurs de risque et mettre en place des stratégies efficaces pour sauvegarder la santé mentale des salariés et renforcer la résilience organisationnelle.
Chez Ariane Conseil, on vous accompagne dans la prévention des RPS avec des diagnostics, sensibilisations et formations.
Loin d’être des nouveaux sujets traités dans le monde du travail, ces notions restent tout de même floues à définir et à mettre en place. Des questions subsistent régulièrement de la part de nos clients : Quelles sont les conséquences du travail sur les salariés ? Comment identifier et prévenir les RPS ? Quels dispositifs mettre en place ?
Aujourd’hui, la dégradation de la santé mentale ne cesse d’augmenter et de faire les gros titres. Elle est au centre de tous les échanges. Cette année, la lutte contre les risques psychosociaux et la prévention de la santé mentale reste au cœur des enjeux stratégiques des employeurs. La loi impose des obligations à l’employeur en matière de santé mentale. Ces dispositions figurent dans le Code du travail.
Pour rappel, l’article L4121-1 énonce que « pour garantir la protection de la santé physique et mentale des salariés, l’employeur veille à adapter les mesures de sécurité afin de tenir compte du changement des circonstances et s’assure de l’amélioration des situations existantes ». La loi santé de 2021 est venue renforcer les obligations de l’employeur sur ce sujet.
Investir dans ses sujets et avoir une gestion efficace contribue à améliorer la qualité de vie au travail, réduire l’absentéisme, augmenter la motivation et l’engagement et ainsi améliorer la performance globale de l’entreprise.
Les RPS sont des risques qui peuvent être induits par l’activité elle-même ou générés par l’organisation et les relations de travail. Le collège d’expertise sur le suivi des RPS (2011) les définissent ainsi : ce sont des « risques pour la santé mentale, physique et sociale, engendrés par les conditions d’emploi et les facteurs organisationnels et relationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental ».
Prévenir les RPS, c’est mettre en place des actions pour protéger la santé physique et mentale des salariés. Certaines situations ou certains facteurs peuvent impacter négativement ou positivement la santé mentale des salariés, par exemple :
La qualité de vie et des conditions de travail (QVCT) est définie par l’ANACT comme “les actions qui permettent de concilier à la fois l’amélioration des conditions de travail et la performance globale ».
La QVCT comprend donc différents éléments : la reconnaissance au travail, l’égalité professionnelle, l’équilibre vie pro/vie perso, l’évolution professionnelle, etc. En 2020, la QVT a évolué pour devenir la Qualité de Vie et des Conditions de Travail (QVCT). Cette nouvelle définition propose de repenser les conditions de travail au-delà des paniers de fruits et babyfoot et ainsi d’instaurer une politique de prévention adaptée.
La démarche QVCT se veut une démarche plus globale qu’un plan d’action RPS. Plus proche d’une démarche d’amélioration continue, elle vise à faire entrer le sujet de la qualité de vie au travail dans toutes les décisions d’organisation de la structure. Les deux démarches ne se substituent pas l’une à l’autre. Pour pouvoir mettre en place une démarche QVCT qui fonctionne et pour faciliter sa mise en place, la prévention des RPS en amont reste une étape essentielle.
Prendre le pouls de son entreprise est important pour détecter en amont les risques et préserver la santé de ses collaborateurs. Ariane Conseil, expert en gestion des RPS et de la QVCT, propose des solutions sur mesure pour prévenir les RPS et améliorer le bien-être de vos collaborateurs au sein de votre entreprise. Notre équipe dédiée travaille à vous accompagner dans la mise en œuvre d’une démarche de prévention globale ou dans la gestion de crise. Nous agissons à tous les niveaux de prévention : prévention primaire, secondaire, tertiaire.