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Ce sont maintenant 3 ergonomes Ariane Conseil qui sont habilités par la profession et par l’INRS et qui peuvent déployer le dispositif de prévention des troubles musculosquelettiques (TMS) que propose la branche aux entreprises de la propreté.
Il s’agit d’un dispositif de formation-action qui s’inscrit dans une démarche globale de prévention des TMS à destination des entreprises de la Propreté, et qui vise à sensibiliser les différents acteurs de l’entreprise et à former un APTMS, un Animateur en Prévention des Troubles Musculo-Squelettiques.
Consciente des enjeux que représentent les TMS dans le secteur de la propreté, la branche s’est engagée très tôt pour aider ses entreprises au travers d’un programme national ensuite décliné en région. La formation-action comprend des journées collectives et des temps d’accompagnement individuel sur le terrain. Elle permet aux entreprises de propreté rejoignant le dispositif de :
Les entreprises sont accompagnées par des consultants TMS référencés par la profession de la propreté et certifiés par l’INRS parmi lesquels des ergonomes du cabinet.
Dès la mise en place du dispositif, il y a maintenant plus de 10 ans, les ergonomes Ariane Conseil ont obtenu cette certification et ont été associés au déploiement de la formation-action.
Ce sont aujourd’hui 3 ergonomes du cabinet, basés respectivement en Occitanie, en Auvergne Rhône Alpes et en Normandie qui sont désormais référencés et qui peuvent accompagner des entreprises de la Propreté dans le cadre de ce dispositif.
QUE VIENT VALIDER CETTE CERTIFICATION ?
L’obtention de la certification vient valider l’expertise des ergonomes Ariane Conseil attestant plus précisément 👇
Plus globalement, au-delà du programme déployé par la propreté, il existe différentes modalités d’actions des ergonomes sur le sujet de la prévention des TMS. Ils peuvent, à titre d’exemple,
Première cause de maladie professionnelle en France et en Europe (87 %), les troubles musculosquelettiques (TMS) représentent plus de 9 millions de journées de travail perdues, selon les chiffres 2016 de la sinistralité fournis par la CNAM.
Ils touchent les articulations des membres supérieurs (épaule, coude, main, poignet et doigts) ainsi que le bas du dos.
L’activité professionnelle peut jouer un rôle dans leur apparition, leur durée ou leur aggravation, notamment lorsque l’organisation du travail (répartition de la charge, définition des tâches, gestion des remplacements, etc…) fait émerger deux types de facteurs de risque :